Qu'est ce que la CSOFA ?
La Chambre Syndicale des Organismes de Formation en Alternance a été crée à la fin des années 80 à l’initiative d’un certain nombre de centres de formation qui estimaient n’être ni assez informés, ni assez représentés auprès des responsables d’un système qu’ils s’attachaient à faire vivre. Depuis, elle a mené de nombreuses actions à des moments clefs de l’histoire de la profession, rencontré la quasi totalité des équipes gouvernementales en charge des dossiers et porté la parole des Organismes de Formation à la chambre, au sénat, chez France Compétences, auprès de l’administration, auprès de la presse etc. Elle l’a toujours fait avec indépendance d’esprit (La CSOFA n’est dépendante d’aucun parti ou structure autre), sans corporatisme étroit, avec le souci de l’intérêt de ses adhérents mais aussi celui de l’intérêt général. Elle s’attache, sans être une société de service a représenter les organismes de formation auprès des pouvoirs publics, de l’administration, de la presse et de manière générale des instances de décision, à favoriser les échanges, les contacts et les réflexions sur la formation pour rester force de propositions (déontologie, pédagogie, économie du système etc.)
Qui sommes-nous ?
La CSOFA n’est pas une société de service, elle est avant tout un outil au service des Organismes de Formation, une structure légère mais efficace, qui a démontré maintes fois sa réactivité devant les dangers pour la profession, proposé des idées nouvelles aux politiques et aux candidats aux élections, fait entendre une voix critique lorsque cela était nécessaire, engagé des actions fortes en cas de besoin, participé aux échanges avec les instances responsables, favorisé les discussions entre collègues de régions différentes, pris en compte les problèmes des grands groupes sans oublier la voix et l’utilité des petits Organismes de Formation particulièrement utiles à la diversification et au maillage de l’offre ainsi qu’aux initiatives pédagogiques. Elle cherche toujours, hors des influences et des partis, mais sans exclure les contacts et actions communes avec d’autres, à être une voix importante dans la formation professionnelle. Elle s’engage à défendre les droits, les valeurs, l’efficacité pédagogique de la formation alternée en CA comme en CP.
Pourquoi adhérer ?
• Parce que vous pensez qu’une profession doit pouvoir faire entendre sa voix et ses propositions lors de tout changement économique, juridique, politique etc. de ses conditions d’exercice.
• Parce que vous estimez que l’apprentissage doit encore se développer pour offrir aux jeunes (ou moins) un outil de formation performant, souple, présent partout et construit avec la voix de ceux quine font vivre au quotidien.
• Parce rencontrer d’autres Organismes de Formation, d’autres responsables de régions différentes, permet à chacun non seulement d’être plus fort mais aussi de tisser des relations utiles.
• Parce vous estimez qu’une profession qui se regroupe sur des idées, des valeurs, des demandes est plus forte.
• Parce vous avez le souhait d’être encore mieux informé renseigné voire aidé ou soutenu.
À qui s’adresse
la CSOFA ?
La CSOFA s’adresse aux Organismes de Formation petits ou grands, qui sont en accord avec sa charte de déontologie et qui se reconnaissent dans les raisons d’adhérer.
Quel rôle a joué la CSOFA dans le passé ?
La CSOFA été a différentes reprises un outil déterminant pour la défense et/ou le développement de l’alternance et de l’apprentissage.
Sans refaire l’historique, rappelons quelques épisodes marquants…
• Elle est intervenue avec combativité à l’époque de ce que l’on a appelé les contrats orphelins et même organisé un rassemblement (formateurs, jeunes, parents) qui a contribué au règlement du problème.
• Elle a eu un rôle prépondérant auprès des parlementaires pour que les contrats d’alternance hors apprentissage (à l’époque celui-ci était en grande partie fermé aux Organismes de Formation) ne soient pas réduits à une durée d’un an maximum. L’amendement qui a été adopté pour que les formations diplomates puissent être faite sur une durée plus longue a été mis en place et porté par les porte-paroles de la CSOFA auprès des députés.
• Elle a rencontré la quasi totalité des ministres ou secrétaires d’état en charge du dossier alternance ou apprentissage, pour anticiper, argumenter, négocier, sans corporatisme ou dogmatisme mais en priant la voix des professionnels de terrain.
• Elle a largement contribué au développement et à l’ouverture de l’apprentissage, en particulier en rencontrant les candidats aux élections et leur représentants pour apporter à leur programme ou actions les éléments nécessaires à la promotion ou la défense de l’alternance et de l’apprentissage.
• Elle a porté la voix de ses adhérents (et plus généralement de l’alternance) auprès des médias (PQN, radio, TV…), des deux chambres (AN, Sénat), des partenaires sociaux (MEDEF, CGPME, FO, CFDT) , des structures actives (OPCO, franc Compétences) et constitué un fond documentaire et argumentatif (sondage national, analyses et arguments sociaux, analyses économiques, documents juridiques…)